At the end of the day – 2018
Dans les rues de Séoul, de Busan, les rues sont
parsemées de visages ayant l'air d'avoir vieilli trop vite, des corps
travailleurs fatigués par de longues années où le repos n'en avait que
le nom.
Les grand·e·s oublié·e·s de l'essor économique du pays,
d'une population vieillissante qui ne sait plus quoi faire de ses
vieilleux.
Alors il faut travailler encore. Même si les
articulations grincent, que les yeux ne voient plus si clair, que les
cheveux noirs se font plus rares, que la fatigue et la survie
s'entrechoquent, comme le bruit des maigres sous dans la poche à la fin de la journée.
In the streets of Seoul, Busan, the streets are strewn with faces that aged too fast, laboring bodies weary from long years spent without rest.
They are the forgotten outcasts of the country's economic boom, of an aging population that does not know what to do with its elders.
So they must keep working. Even if their joints creak, eyes don't see so clearly any more, black hair becomes more scarce, fatigue and survival collide, like the sound of the meager coins in the pockets at the end of the day.